Sommaire 1 - Ne pas lui faire de reproches. 2 - Ne pas le brusquer. 3 - Ne pas le laisser s'isoler. 4 - Partager son enthousiasme quotidiennement. 5 - Ne Jai envie de comprendre La dépression par Guido Bondolfi,Suzy Soumaille Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre. Découvreztous les ebooks de la collection J'ai envie de comprendre à télécharger en PDF et EPUB et en lecture en ligne au meilleur prix sur compte retour × LAFATIGUE. J'AI ENVIE DE COMPRENDRE LA FATIGUE. par Gordon Elisabeth. 16,00 CHF. En stock. 1031530. Quand le moindre effort épuise, que l’on a sans cesse envie de bailler, que l’on n’arrive plus à se concentrer, la fatigue – physique ou psychique – devient suspecte. Jai envie de comprendre - la dépression par Gilles Bertschy - Guido Bondolfi aux éditions Planète santé. Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux 5Z23ZN. Nous utilisons les cookies pour vous offrir une meilleure expérience utilisateur. Pour se conformer à la nouvelle directive concernant la vie privée, nous devons vous demander votre consentement pour sauvegarder des cookies sur votre ordinateur. En savoir plus. Basculer la navigation J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA DEPRESSION ED. 2012 par Soumaille Suzy Bondolfi Guido Bertschy Gilles J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA DEPRESSION ED. 2012 Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux jambes plutôt que d’affronter les tourments de la dépression. Résumé du livre - J'ai envie de comprendre... La dépression Nombre de déprimés auraient préféré se casser les deux jambes plutôt que d’affronter les tourments de la dépression. Affection redoutable, le nuage noir de la dépression envahit les moindres recoins de la pensée et du corps, parfois jusqu’à étouffer l’envie de vivre. Au cours de leur vie, une femme sur cinq et un homme sur dix vont en faire la douloureuse expérience. Le poids de la dépression ne cesse d’augmenter, selon l’OMS, elle occupera en 2020 le deuxième rang des maladies avec le taux d’incapacité le plus élevé. Connaître sa maladie est le premier pas pour sortir du tunnel dépressif. Symptômes, diagnostic, traitements, prévention des rechutes… avec ses dix chapitres pratiques et faciles d’accès, ce livre accompagne le patient sur le long chemin qui le mène vers la guérison et l’informe de manière complète, lui permettant ainsi d’être actif dans les soins. Cet ouvrage est aussi une aide pour les proches qui sont en première ligne aux côtés de la personne dépressive. Tiraillés entre l’envie de la réconforter et de la secouer, ils sont guettés par le sentiment d’impuissance et l’épuisement. En s’informant sur sa maladie, l’entourage peut ainsi mieux soutenir le déprimé sur la durée, sans sombrer avec lui. Cette nouvelle édition, entièrement mise à jour, est le premier volume de la série J’ai envie de comprendre...». À propos des Suzy Soumaille est journaliste médicale, auteure de "J'ai envie de comprendre les allergies" et de "J'ai envie de comprendre la dépendance au tabac" aux éditions Médecine et Hygiène. Responsable du service de la communication patients et usagers et rédactrices en chef du magazine pulsations aux Hôpitaux universitaires de Genève. Le Dr Guido Bondolfi est chargé de cours à la faculté de médecine de l'Université de Genève. Médecin adjoint agrégé aux Hôpitaux univesitaires de Genève. Le Pr Gilles Bertschy est professeur à l'Université de Strasbourg, dhef du service de psychiatrie II aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg. Plus d’information ISBN9782889410125 AuteurSoumaille Suzy, Bondolfi Guido, Bertschy Gilles Parution1 déc. 2012 Nombre de pages200 Format12x17 cm CollectionJ'ai envie de comprendre ThèmePsychologie Copyright © 2020 GROUPE MEDECINE & HYGIENE - All rights reserved. TOUS LES LIVRES J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA FATIGUE Options de Visualisation Taille Espacement Alignement Citer cet article Abstract Quand le moindre effort épuise, que l’on a sans cesse envie de bailler, que l’on n’arrive plus à se concentrer, la fatigue – physique ou psychique – devient suspecte. Déjà client ? Vous avez déjà un compte? J'achète ce produit J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA FATIGUE J'AI ENVIE DE COMPRENDRE... LA FATIGUE Quoi de plus normal que de se sentir fatiguée après une harassante journée de travail, une matinée de sport intense ou une fête qui ne s’est achevée qu’au petit matin ? Il suffit alors d’une bonne nuit de sommeil ou de quelques heures de repos pour retrouver son énergie. Mais quand le moindre effort épuise, que l’on a sans cesse envie de bailler, que l’on n’arrive plus à se concentrer, l’épuisement – physique ou psychique – devient suspect. S’il dure, il peut même devenir invalidant. Il faut alors en rechercher la cause et, lorsque cela est possible, la traiter. Car la fatigue pathologique cache ou découle souvent d'une affection sous-jacente. Pour certaines maladies – comme des troubles du sommeil, la carence en fer, la sclérose en plaques, la dépression et bien sûr le syndrome de fatigue chronique – ce type de fatigue permet souvent d’orienter le diagnostic s’il n’a pas été posé. Pour d’autres, comme les infections ou les addictions à l'alcool ou la drogue, elle n’est qu’un symptôme, fréquent, parmi d’autres. Elle peut aussi être la conséquence de certains traitements médicamenteux. Ce volume explore les multiples sources et facettes de la fatigue à tous les âges, des adolescents aux personnes âgées. Elisabeth Gordon Journaliste scientifique et médicale. Elle a déjà publié dans la collection J’ai envie de comprendre… » plusieurs ouvrages sur le sommeil avec les Drs Raphaël Heinzer et José Haba-Rubio ; sur le mal de dos avec le Dr Stéphane Genevay ; sur le cancer avec le Pr Pierre- Yves Dietrich et la Dre Angela Pugliesi-Rinaldi ; sur le cancer des enfants avec le Pr Marc Ansari ; sur la respiration avec le Pr Laurent Nicod ; et sur l’avancée en âge avec le Pr Christophe Büla. Pr Gérard Waeber Chef du Service de médecine interne, endocrinologie et diabétologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois à Lausanne CHUV Il y a maintenant 3 ans, j’ai mis un mot sur mes maux. J’avais du mal à admettre que j’étais en dépression. Oui car comment parler de sa dépression ? Comment savoir si c’est une dépression ou une simple déprime. Comment s’en sortir ? Comment être aider ? Ce n’est parfois pas facile de mettre ses idées au clair et aller de l’avant quand on fait une dépression. Quels sont les signes de la dépression ? Il y 3 ans, je me faisais arrêter par mon médecin traitant, car je n’allais pas bien du tout. J’étais très fatiguée, je ne dormais pas la nuit et j’ai demandé à mon médecin s’il était possible de m’arrêter car je n’en pouvais plus. J’ai eu la chance qu’elle me comprenne et qu’elle m’arrête une semaine pour reprendre des forces. La dépression était là depuis longtemps. Mais j’avais dû mal à admettre que ça n’allait pas. Je n’étais pas bien au travail. Après avoir travaillé de nombreuses années dans la même entreprise, je ne me sentais plus du tout à ma place. J’avais eu une cheffe qui n’était pas d’accord avec ce que je disais et m’a écarté volontairement du poste que j’occupais. Je me suis retrouvée dans un service que je ne connaissais pas et auquel je n’avais pas postulé. Je ne pouvais pas partir de mon entreprise, c’était trop risqué pour ma famille. Nous avons un crédit maison, et ils nous étaient impossible de n’avoir qu’un seul salaire. J’ai donc continué à travailler, sans intérêt, sans passion. Ce qui m’a le plus fait souffrir, c’est que je devais continuer à faire mes preuves, alors que cela faisait plus de 15 ans que je travaillais dans la même entreprise. Je n’avais pas le même salaire que mes collègues masculins qui n’avaient pas de diplôme et moins d’expérience que moi. Et pourtant j’étais moins bien payé. Cela me m’était en rage, je trouvais ça injuste. Et je ne vous parle pas du harcèlement moral que je pouvais subir. Toutes ces choses, me rendaient triste. Quand je partais le matin, j’avais la boule au ventre. Je n’étais pas du tout épanouie dans ce travail. Mais je me disais que je ne pouvais pas partir. Quelle erreur !!! Et puis un jour notre société a décidé de déménager à la périphérie de Paris. Moi qui mettais 15 minutes pour aller au travail, j’allais mettre 1h30 de plus. C’était pour moi totalement impensable. Je n’étais déjà pas bien au travail, mais là on me demandait de rallonger mon temps de transport, de me rajouter du stress oui car même en étant cadre, il y avait des horaires à respecter tout ça pour le même salaire. Quand j’ai appris la nouvelle, j’étais en larme. Mais pourquoi ? Mon monde s’effondrait. Le télétravail n’était autorisé qu’une seule journée, aucune compréhension de la part de l’employeur aucun arrangement. Il fallait suivre ou démissionner. Mais ce n’était pas juste. Après 18 ans dans la même entreprise, on était traité comme des numéros. Nos états d’âmes, nos contraintes familiales, notre bien-être, l’entreprise s’en foutait. Ma descente aux enfers Tous les matins, je pleurais avant d’aller au travail. Je partais de chez moi au dernier moment. Mes insomnies se sont amplifiées. Mes douleurs au niveau de mes bras j’ai un syndrome thoraco-brachial augmentaient. J’étais constamment à crier sur mes enfants. Je parlais toujours à mes amis de cette injustice auquel je faisais face et malheureusement, je n’étais pas la seule, je m’en prenais à mon mari, nous n’avions plus de complicité. Mes sourires s’effaçaient, ma joie de vivre perdait de son éclat. Je n’avais plus envie de faire à manger, de sortir ou d’aller faire du shopping. L’endroit où je me sentais le mieux, était dans mon canapé, seule avec ma télé. Ce n’est vraiment pas une légende quand on se sent dépressif, on n’a vraiment envie de rien. La vie était pour moi sans issue, je ne voyais pas comment je pouvais m’en sortir. J’ai essayé de trouver un autre travail, car il m’était impossible d’aller à Paris. J’ai passé plusieurs entretiens mais sans résultats. Je n’étais pas prête. Même si je voulais vraiment partir. Mes actions, mon comportement, mon engouement n’étaient pas au rendez-vous. Il fallait que je digère le fait que mon entreprise s’en foutait royalement de moi. Que je n’étais qu’un pion et que je n’avais pas mon mot à dire. Tant d’année dans cette entreprise, tant de soirée à terminer à pas d’heure sans voir mes enfants, oubliant les petites attentions pour mon mari. J’étais en colère, j’étais blessée. Comment ai-je pu autant m’impliquer pour si peu de reconnaissance ? Je ne savais plus quoi faire. Une aide pour me sauver de la dépression. Après mon premier arrêt maladie. J’ai demandé à mon médecin qu’elle m’arrête encore. Elle m’a accordé 2 semaines. En parallèle, je consultais mon chirurgien pour mon problème thoraco-brachial. Il a continué à me faire mes arrêts. Il savait que la cause de cette dépression était le travail, mon entreprise. Un jour il m’a fortement conseillé d’aller voir une psychiatre, car plus ça allait, plus je m’enfonçais et je ne voyais plus le bout du tunnel. Aujourd’hui, le remercie vraiment de m’avoir poussée à aller voir un psychiatre, car je n’en serai pas là. J’ai trouvé une psychiatre qui venait juste de s’installer dans notre commune et elle était également thérapeute. J’ai donc pris rendez-vous avec elle. Le premier contact a été très douloureux pour moi, car il fallait que je raconte mon histoire et pourquoi je venais la voir. C’était dur pour moi de me dire qu’il fallait que j’aille voir une psychiatre. Pourtant, je me sentais forte, mais ce n’était qu’une façade. Je craignais aussi de prendre des antidépresseurs car ils pouvaient me faire du mal. Me rendre différente, ne plus être la personne que j’étais. Mais finalement, avec la dépression, j’étais déjà devenu une autre personne. J’avais changé. J’ai donc accepté de prendre les antidépresseurs avec un mini dosage. La psychiatre a entendu mes craintes et nous avons commencé doucement. Le premier jour de la prise du médicament, j’étais très fatiguée. Envie de rien. A rester dans mon canapé. Pour les gens qui me connaissaient et même aujourd’hui quand j’y repense, j’étais devenue l’ombre de moi-même. Je ne me maquillais plus, je mangeais peu, je restai en jogging toute la journée. Je n’avais plus envie d’écouter de musique, plus envie de créer, plus envie de rien. Au fur et à mesure du temps et des séances, la psychiatre a augmenté la posologie du médicament. Et je reprenais goût à la vie. Elle a été d’une grande aide, mais le sujet de l’entreprise revenait tout le temps. J’étais prisonnière de cette société. Un jour, elle m’a proposé d’aller voir l’institut de souffrance au travail pour voir comment ils pouvaient m’aider en plus des séances que j’avais avec elle. Une lueur d’espoir dans ma dépression Après un courrier de la part de ma psychiatre et quelques mois d’attente, j’ai enfin pu avoir un rendez-vous. Cet institut est expert dans les souffrances au travail et vous oriente comme il se doit pour vous protéger. J’étais très stressée car je ne savais pas à quoi m’attendre. En arrivant devant les deux psychiatres, je me suis demandé s’ils allaient comprendre ma détresse et ce que je vivais actuellement. La première question qu’ils m’ont posée c’est qu’est ce que j’attendais d’eux. Finalement, je ne savais pas ce que j’attendais. J’avais suivi les conseils de psychiatre et je voulais sortir de cette situation. Je leur ai donc parlé de mon mal être, que j’avais des douleurs physiques en plus de mes douleurs psychologiques. L’entretient s’est bien déroulé, jusqu’au moment où ils m’ont demandé et si demain vous deviez retourner dans votre entreprise ». Et là j’ai eu un moment de panique, un mal de ventre monstrueux. Je leur ai répondu que s’il le fallait vraiment, j’irai mais que je ne serai pas bien et que j’en vomirai. Et là je me suis mise à pleurer, pleurer. C’était impossible pour moi d’y retourner, impossible de passer devant, impossible d’y mettre un pied. Ces douleurs sont encore ancrées en moi et rien qu’en écrivant ses phrases, les larmes coulent. Ces deux médecins ont bien compris ma détresse et m’ont donc proposé de demander à mon entreprise une rupture pour inaptitude. Il fallait juste faire une démarche auprès de mon médecin du travail et je pourrai enfin partir. J’avais donc un espoir que tout ça se termine. Quand je suis sortie. Je me sentais à la foi heureuse mais aussi complétement vidé. J’ai donc fait toutes les démarches auprès de la médecine du travail avec l’aide de ma psychiatre. Le mal était toujours là, mais il s’atténuait grâce à la thérapie et aux antidépresseurs. L’entreprise ne pouvait pas refuser cette rupture car c’était une dépression et ne pouvait pas me mettre sur un autre poste. Il n’avait donc pas le choix que d’accepter. Libérée de mon ravisseur, délivrée de ma dépression J’ai dû retourner dans la société deux fois pour l’accord préalable car j’étais cadre et la signature finale de la rupture. Bien évidemment, je me suis fait accompagner par un délégué du personnel pour qu’on ne me pose pas de problème. Après une année d’arrêt de travail, j’étais enfin libérée de mon ennemi. Libérée de toutes ces contraintes, libérée de toutes mes obligations envers eux. Je n’avais plus de compte à leur rendre. J’étais libre. Il faut savoir quand vous êtes licenciés pour inaptitude au travail, vous touchez des indemnités de ruptures, des indemnités compensatrices de préavis et de congés payé dans le cas où c’est une inaptitude professionnelle. Ce qui était le cas pour moi. J’ai donc récupéré de l’argent à la suite de mes 19 années de carrières dans cette entreprise. Pour moi, ce fut une de mes plus grandes victoires. Être allée jusqu’au bout de ma démarche et avoir pu récupérer ce qu’ils me devaient après tant d’année de sacrifice. Aujourd’hui, je suis la plus heureuse des femmes. J’ai combattu mes démons, je suis sortie de la dépression grâce à une aide psychologique et médicale. Grâce aussi au soutient de ma famille qui ont toujours cru en moi. Je suis fière de m’en être sortie, fière d’être devenue plus solide, fière d’avoir vaincu ces ennemis. Surtout, ne lâchez rien. Battez vous et si vous croyez en votre cause, vous gagnerez. Description détaillée J'ai envie de coprendre la dépression La Dépression. Cet ouvrage propose de comprendre la maladie, pour les malades, mais aussi pour les proches, qui se débattent entre le désir de réconforter et de le secouer. Ce livre permet de mieux appréhender les symptômes, le diagnostic, les traitements mais aussi la prévention des rechutes, l'information permet d'accompagner le malade sans sombrer avec lui... Les auteures de "J'ai envie de comprendre la dépression". Suzy Soumaille est journaliste médicale Responsable du service de la communication patients et usagers et rédactrice en chef du magazine Pulsations aux Hôpitaux universitaires de Genève. Dr Guido Bondolf est chargé de cours à la faculté de médecine de l'Université de Genève. Médecin adjoint agrégé aux Hôpitaux universitaires de Genève. Pr Gilles Bertschy est professeur à l'Université de Strasbourg, chef du service de psychiatrie II aux Hôpitaux universitaires de Strasbourg. Auteurs J'ai envie de coprendre la dépression Nombre de déprimés auraient préféré se casser une jambe, voire les deux, plutôt que d'affronter les affres de la dépression. Telle une marée noire,... Lire la suite 14,95 € Neuf Définitivement indisponible Nombre de déprimés auraient préféré se casser une jambe, voire les deux, plutôt que d'affronter les affres de la dépression. Telle une marée noire, cette maladie envahit les moindres recoins du corps et de la pensée, jusqu'à immobiliser sa proie et lui ôter toute envie de vivre. Dévastateur. Nous sommes tous, directement ou indirectement, concernés par la dépression. Une femme sur cinq et un homme sur dix sont touchés ou seront touchés un jour par cette maladie redoutable. Près de 15% des personnes souffrant de dépression meurent par suicide. Premier pas pour sortir du tunnel dépressif connaître sa maladie pour mieux la combattre. C'est l'objectif de cet ouvrage, qui se veut pratique et facile à lire. Symptômes, diagnostic, causes, traitements, prévention des rechutes ce livre suit le patient sur le long chemin qui le mène vers la guérison. J'ai envie de comprendre la dépression constitue également une aide pour l'entourage du dépressif en répondant à la difficile question " Comment le soutenir sans l'enfoncer et, surtout, sans sombrer avec lui ? " Savoir reconnaître les symptômesLes mécanismes de la dépressionLes causes de la dépressionInvestigations et diagnosticLes différents types de dépressionLes traitements biologiques de la dépressionLes traitements psychologiques de la dépressionStratégies psychologiques et médicamenteusesLes moyens pour l'aider sans sombrer avec luiAdresses et informations utiles. Date de parution 18/04/2001 Editeur Collection ISBN 2-88049-143-6 EAN 9782880491437 Présentation Broché Nb. de pages 150 pages Poids Kg Dimensions 15,0 cm × 19,5 cm × 1,0 cm Biographie de Suzy Soumaille Journaliste médicale, Suzy Soumaille collabore actuellement à l'hebdomadaire " Construire ". Son précédent ouvrage, paru en 1999 aux mêmes éditions, concernait les allergies. Psychiatre et spécialiste de la dépression, Gilles Bertschy assure la vice direction de la clinique de psychiatrie adulte des Hôpitaux universitaires de Genève.

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