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OnlyGod Forgives est donc actuellement interdit aux moins de 12 ans. Une décision qui n'est pas du goût de tout le monde, en particulier de SégolÚne Royal qui a fustigé Aurélie Filippetti
Liva suivi Nicolas de la prĂ©- production du film « Only god forgives » au cours de laquelle il a amenĂ© sa famille avec lui pendant 6 mois Ă Bangkok jusquâĂ la prĂ©sentation du film au festival de Cannes. De son rapport trĂšs spĂ©cial avec Alejandro Jodorowsky Ă son amitiĂ© trĂšs forte avec Ryan Gosling, My life directed by Nicolas Winding Refn nous plonge au coeur du
Cannes2013 : Bande-annonce française pour ONLY GOD FORGIVES (Mà J) 18-04-2013 - 14:09 - Par Aurélien Allin. Tweetez cette info ! Tout juste annoncé en compétition à Cannes, le nouveau Nicolas Winding Refn se paie un trailer français ahurissant. MISE à JOUR : Un autre trailer international du film a émergé. Et il est tout aussi puissant que le français Découvrez-le
AutantdâĂ©lĂ©ments que jâai cherchĂ©s looooongtemps dans Only God Forgives (on a le temps, la bande-annonce finale du thriller horrifique avec Harry Styles et Florence Pugh. Maya Boukella
7HsRSk. Only God Forgives » est la derniĂšre Ćuvre de Nicolas Winding Refn, dans lequel joue lâexcellent Ryan Gosling. Ce nouveau film qui sortira le 22 mai en France vient de prĂ©senter deux bandes-annonces bientĂŽt cultes AprĂšs Drive et The Place beyond the Pines, Ryan Gosling revient dans un thriller agressif qui sâannonce dĂ©jĂ comme lâun des plus grands succĂšs de 2013. Il interprĂšte le rĂŽle de Julian, un AmĂ©ricain poursuivi par la justice de son pays, qui sâest rĂ©fugiĂ© Ă Bangkok. Ce personnage principal y dirige un club de boxe thaĂŻlandaise et Ă©volue dans un quotidien enclin Ă la violence. LâĂ©lĂ©ment perturbateur son frĂšre Billy sâest fait exĂ©cuter pour avoir sauvagement assassinĂ© une prostituĂ©e ; sa mĂšre rĂ©clame vengeance. Sâen suit un duel entre Julian et Chang, un policier reconnu par sa profession. Only God Forgives sĂ©lectionnĂ© Ă Cannes Lâaffiche colorĂ©e fait rĂ©fĂ©rence Ă lâambiance nocturne des capitales asiatiques, et rappelle ainsi celle de lâexcellent Enter the Void de Gaspard NoĂ©. Concernant le titre Only God Forgives, Nicolas Winding Refn aurait pu sâinspirer du livre de Nietzsche nommĂ© Humain, trop humain en voulant montrer les faiblesses des Hommes et leur incapacitĂ© au pardon rĂ©el, donc leur incapacitĂ© dâaccĂ©der Ă la perfection. ComposĂ© dâun casting hors pair avec le fameux Ryan Gosling, une Kristin Scott-Thomas mĂ©connaissable et Vitaya Pansringarm, Only God Forgives est dores et dĂ©jĂ sĂ©lectionnĂ© au Festival de Cannes et se rĂ©vĂšle ĂȘtre lâun des films les plus attendus de la Croisette. En attendant, le rĂ©alisateur Nicolas Winding Refn a concoctĂ© deux bandes-annonces, une en VO et lâautre en VOST Ă la fois violents et crus, ces teasers nous dĂ©voilent une ambiance sombre, tendue et chargĂ©e en rebondissements. DĂ©couvrez les deux bandes-annonces choc, en VO et en VOST, de Only God Forgives sur MCE ONLY GOD FORGIVES â Bande Annonce VOSTF â En salles le 22 mai from LE PUBLIC SYSTEME CINEMA on Vimeo. Manon Monmirel Tags bande-annonce - Bangkok - cannes - combat - culture - festival de cannes - film - la Croisette - ma chaĂźne Ă©tudiante - mce - mce tv - meurtre - ryan gosling - succĂšs - thaĂŻlande - vengeance - violence
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Cette mĂšre Ă©trange et diabolique dont le fils disparu Ă©tait son idole, est interprĂ©tĂ©e par Kristin Scott Thomas mĂ©connaissable avec cette apparence de Madonna vampirique Ă la limite de la folie !Et puis, il y a bien sĂ»r Chang ce policier de Bangkok, dont la justice est impitoyable qui se prend pour Dieu en personne et dont les chĂątiments sont adaptĂ©s en fonction de chacune de ses victimes ! Son regard est glaçant et en dit long d'autant plus qu'on le surprend se produire sur scĂšne en interprĂ©tant des chansonnettes Ă l'eau de rose devant un public fascinĂ© ! Tout ce mĂ©lange sans oublier les seconds rĂŽles tous au diapason, est littĂ©ralement explosif et seul Julian a en lui un fond d'humanitĂ© qui fait toute la diffĂ©rence... HumanitĂ© que son frĂšre aĂźnĂ©, sa mĂšre ne connaissent pas et qui le rendent Ă leurs yeux si haĂŻssable ! HumanitĂ© qui le rend fragile et dont ce regard absent l'exprime pleinement...Toute cette histoire de vengeance est aussi sublimĂ©e par une mise en scĂšne presque conceptuelle avec ces silences, ces plans fixes, ces Ă©clairages mystĂ©rieux parmi des dĂ©cors surrĂ©alistes tels des labyrinthes dont on ignore tout, et on songe Ă l'univers de David Lynch, aux dĂ©cors et Ăą l'ambiance de Wong Kar WaĂŻ !La musique, les effets sonores apportent la derniĂšre note Ă cette rĂ©alisation exceptionnelle qui ne peut que marquer Ă jamais les esprits !Une claque cinĂ©matographique assurĂ©ment ! Ahaha sacrĂ© Nicolas. Le succĂšs public c'est pas bon pour la crĂ©ativitĂ© et l'image d'artiste maudit que depuis toujours tu te traĂźnes, sans compter qu'on te pardonnera moins aisĂ©ment tes dĂ©pressions si jamais l'argent et les spectateurs commencent Ă abonder. Quoi de mieux dĂšs lors que de saccager violemment la recette de ton film prĂ©cĂ©dent, ce succĂšs surprise qui t'aura sans doute toi-mĂȘme dĂ©contenancĂ© ? Quoi de mieux que de pervertir ton jouet, de tromper tout ton monde avec des bandes annonces allusives et des affiches oĂč Ryan porte beau dans son costume de soirĂ©e ? Tout ça pour mieux, une fois les spectateurs captifs de la salle, fouler au pied la tronche de la vedette idolĂątrĂ©e, lui refaire le coup du sparadrap de Nicholson, mais en transformant cette fois sa gueule en steak sanglant et avariĂ© Ă la moitiĂ© du mĂ©trage. Ton prĂ©cĂ©dent protagoniste Ă©tait sans peur, sans famille, sans affect, immortel, celui-ci sera engluĂ© dans un oedipe sordide, dans un business crapuleux, sera vellĂ©itaire, Ă©motif, hĂ©sitant, constamment battu, constamment perdant. Tu dĂ©testes Ryan Gosling ? Tu adoreras ce film. Tu adores le cinĂ©ma de Nicolas Winding Refn ? Tu l'adoreras Ă©galement, car tu y retrouveras tout ce qui fait la quintessence de son cinĂ©ma cette dimension contemplative et onirique, cauchemardesque surtout, oĂč fantasmes, reprĂ©sentation mentale et rĂ©el s'enchevĂȘtrent sans que l'on puisse jamais vraiment dĂ©terminer oĂč l'un commence et l'autre s'achĂšve. Le cinĂ©ma de Refn, et ce film en est encore l'illustration, trouve son essence sonore et visuelle dans le cinĂ©ma d'horreur, avec ces nappes vrombissantes et Ă©tranges, ici complĂ©tĂ©es par des musiques rituelles martiales et de jolis morceaux de karaokĂ© bluesbro/>/> , ou encore cette photo Ă©carlate teintĂ©e de nĂ©ons rubiconds et de gerbes de sang qui jaillissent lors de dĂ©chaĂźnements de violence subits et paroxystiques Ă ce titre, la scĂšne du cabaret, oĂč des yeux se fermeront de diverses façons, m'a Ă©tĂ© personnellement trĂšs Ă©prouvante. Tu voulais voir Drive 2, tu te retrouveras devant Bad Lieutenant in Bangkok, tant le personnage de l'inspecteur, garant d'une justice divine donc inhumaine, infaillible et tranchante, vampirise tout le film et s'accapare la majeure partie des attributs dĂ©volus au driver du prĂ©cĂ©dent. Kristin Scott Thomas en mĂšre incestueuse et cannibale n'est pas le moindre des contre-emplois du film, et oui, puisque vous posez la question, on verra bien son fils s'introduire en profondeur dans sa matrice. Bangkok, Ă l'instar de subvertie par la camĂ©ra de NWR, se mue en une citĂ© poisseuse et fantasmagorique, presque continĂ»ment nocturne, un Enfer Ă©trangement doux et languissant dont on ne saurait s'Ă©chapper, surtout si l'on est AmĂ©ricain. Only God Forgives, c'est un peu comme si le cinĂ©ma asiatique dĂ©fonçait la gueule d'Hollywood avant de lui couper les deux mains. Un bon cru rouge sang Ă la limite de l'autisme façon Valhalla Rising, un dĂ©sastre public annoncĂ© passĂ© la premiĂšre semaine, un putain de film une fois encore. Bien ouĂšje Nico. Dommage, j'ai pourtant accrochĂ© pendant la quasi totalitĂ© du film, hypnotisĂ© par cette trĂšs lente atmosphĂšre, cette photo superbe, ces scĂšnes minimales mais percutantes, un peu comme une heureuse rencontre entre Lynch et Tarantino. Et puis arrivent les 2 derniĂšres minutes et c'est le drame, le gaspillage total et irrĂ©versible. On pense Ă un bout de pellicule dont le rĂ©al ne savait pas quoi faire, il le colle Ă la fin, les spectateurs feront avec aprĂšs tout... Ce qui a le don de m'agacer au plus haut point. Nicolas Winding Refn nous l'a jouĂ© petit branchouillard Ă©gocentrique sur ce coup lĂ , il s'est fait son petit trip Ă lui tout seul en se moquant royalement de son je ne suis pas un fan inconditionnel de Lynch, autant Winding Refn a voulu nous faire du Lynch et s'est vautrĂ© sur la longueur. Il aurait mieux fait de terminer sur du Tarantino que sur du mets quand mĂȘme 2/5 pour les 88 autres minutes, hypnotisantes et intĂ©ressantes elles... Je viens de voir ce film...comment dire.. C'est embarrassant. Je tiens d'abord Ă prĂ©ciser que j'aime beaucoup le travail de Nicolas Winding Refn depuis la trilogie de Pusher, c'Ă©tait sec, tendu et dotĂ© d'un vĂ©ritable scĂ©nario. J'ai continuĂ© Ă apprĂ©cier son travail avec Bronson et le guerrier silencieux. Mais lĂ , c'est insupportable. Evidemment qu'il y aura toujours des critiques pour souligner la "radicalitĂ©" du film, comme il y aura toujours des personnes qui iront contempler des peintures dans une galerie en prĂ©tendant au minimum que c'Ă©tait "intĂ©ressant" quand ils n'aiment pas pour rester dans la norme. Mais voilĂ , ce film ne mĂ©rite pas, Ă mon sens, plus d'une demi-etoile. D'abord le rythme le film est quasiment entiĂšrement au ralenti. Ryan Gosling pose tout le temps, et comme les acteurs sont inexpressifs, la musique vient vous rappeler, spectateur, Ă quel moment il faut s'inquiĂ©ter, et Ă quel autre moment il faut s'Ă©mouvoir. Justement, parlons de la musique fans de Drive, les synthĂ© sont de retour ! s'agit pas de dĂ©payser le spectateur qui a besoin de retrouver la patte du rĂ©al. Ce dernier d'ailleurs sature pas mal les couleurs, pour bien signaler que c'est lui qui est aux ?...Je ne suis pas sĂ»r d'avoir compris. ça parait tellement mince que j'ai du probablement oubliĂ© de comprendre...comme un certain nombre de spectateurs qui ont quittĂ© la salle pendant la projection. Je me suis retenu de ne pas le faire, espĂ©rant ĂȘtre surpris par un autre niveau de lecture du film qui deviendrait Ă©vidente Ă la fin. Je l'attends toujours...Et que dire des scĂšnes violentes, trĂšs gores. Elles ne sont pas justifiĂ©es Ă mon sens, sauf peut ĂȘtre pour rĂ©veiller les spectateurs de la croisette en cas d'assoupissement inĂ©vitable... Et peut ĂȘtre aussi pour signaler que Nicolas Winding Refn ne fait pas de compromis avec son art ? j'imagine dĂ©jĂ les critiques parler de "violence graphique", de "brutalitĂ© esthĂ©tique" Non, c'est juste du gore crĂ©tin et inutile, avec des couleurs saturĂ©es. Pour les critiques qui trouvent ce film intĂ©ressant, j''ai lu un jour que "pour que les choses deviennent intĂ©ressantes, il suffit de les fixer pendant plus de 5 mn". LĂ vous avez une heure trente. en plus au ralenti. Donc pas d'excuses, il en ressortira forcĂ©ment un truc. Mais rien qui explique par quel mystĂšre un tel film arrive Ă trouver le chemin des salles quand d'autres sortent en DTV....Je me demande si ce film n'y aurait pas eu droit d'ailleurs si Ryan Gosling n'Ă©tait pas Ă l'affiche.... Pour beaucoup, Nicolas Winding Refn, c'est Drive, premier film dont il n'avait pas signĂ© le scĂ©nario et premiĂšre incursion du rĂ©alisateur dans le cinĂ©ma Hollywoodien. Il est toutefois bon de garder Ă l'esprit que cette excellente appropriation de ce qui aurait pu devenir un banal "fast & furious" entre les mains d'un autre rĂ©alisateur reste son film le plus orientĂ© grand public. Nicolas Winding Refn revient ici Ă quelque chose de plus personnel et plus expĂ©rimental qui va joliment violer les illusions de ceux qui ne juraient que par la rĂ©vĂ©lation du festival de Cannes 2011. On revient ici Ă un rythme plus lent, Ă mi-chemin entre Drive et le sublime Valhalla Rising, exposant posĂ©ment des plans Ă l'esthĂ©tique irrĂ©prochable oĂč le daltonisme du rĂ©alisateur transparait Ă nouveau via des couleurs splendides et contrastĂ©es qui viennent Ă la fois ravir et agresser nos rĂ©tines. Le talent innĂ© qu'il a pour la mise en scĂšne est juste indĂ©niable, qu'on apprĂ©cie ses films ou non. Les images s'imposent comme autant de tableaux purement hypnotiques dont il ne faut pas tant chercher le sens qu'admirer la finesse. Nicolas Winding Refn aime Ă dĂ©ranger son spectateur avec un rythme posĂ©, entrecoupĂ© de scĂšnes d'une violence rare qui prend aux tripes et nous retourne les boyaux pour en extraire le contenu Ă la petite cuillĂšre avant d'en faire des cordes de traitement de la bande sonore n'est pas en reste pour parvenir Ă ce rĂ©sultat en jouant sur nos attentes avec des sons qui ne sortent pas lorsqu'on les attends ou au contraire nous retournent l'estomac en Ă©voquant de maniĂšre auditive ce que l'image nous as dĂ©jĂ suggĂ©rĂ©. Si les bruits de crĂąne fracassĂ© avaient particuliĂšrement marquĂ© dans son film de Vikings, une scĂšne aura Ă©galement sa place au panthĂ©on des bruitages dĂ©rangeants dans Only God Forgives, surtout par son contexte et ce qu'elle sous-entends. Les musiques viennent aussi soutenir l'image avec des crescendos somptueux, de nouveau interprĂ©tĂ©s par Cliff Martinez mais Ă©voquant davantage Valhalla Rising que Drive de par leur capacitĂ© Ă remplacer les dialogues et susciter une Ă©motion vive une fois combinĂ©e Ă l'image. La bande originale se dĂ©marque Ă©galement par l'interprĂ©tation magistrale de l'acteur Vithaya Pansringarm sans avoir une voix parfaite, il instaure par ses chants sur scĂšne une ambiance inattendue et dĂ©rangeante lors de passages oĂč le spectateur s'attend Ă tout sauf à ça et surtout venant d'un tel le casting, Ryan Gosling rempli son rĂŽle aussi bien que dans Drive et signe lĂ une performance somme toute assez similaire, mais c'est Kristin Scott Thomas qui crĂšve l'Ă©cran en mĂšre manipulatrice et intransigeante. A la fois humiliante, froide, vulgaire mais digne, elle s'impose comme une fatalitĂ© qu'il est impossible de contredire ou d'Ă©viter. En somme Nicolas Winding Refn signe ici une nouvelle perle de mise en scĂšne expĂ©rimentale oĂč le son et l'image sont de purs produits d'art abstrait, mettant parfois de cĂŽtĂ© la narration pour laisser libre cours Ă l'interprĂ©tation du spectateur. Il y a fort Ă parier que la critique ne lui pardonnera pas cet Ă©loignement de Drive mais les fans du rĂ©alisateur qui s'en fait de nouveau et en perd d'autres Ă chaque nouveau film et du cinĂ©ma en tant qu'objet d'art ne pourront qu'ĂȘtre emportĂ©s par la beautĂ© du voyage. Ce film n'est pas pour tous et entendons nous bien je ne pense pas qu'il y ai les bons cinĂ©philes qui aimeront et les mauvais qui n'accrocherons pas; tout comme pour Valhalla Rising, il faut aimer un certain genre de cinĂ©ma qui ne se destine pas Ă tous les spectateurs et n'est qu'affaire de goĂ»ts, de la mĂȘme maniĂšre qu'un tableau de Picasso ne parlera pas Ă tous comme une Ćuvre de Michel-Ange. Il se peut d'ailleurs que je manque d'objectivitĂ©, Nicolas Winding Refn Ă©tant pour moi le premier rĂ©alisateur dont la filmographie me fascine presque autant que celle de Stanely Kubrick depuis que ce dernier m'a fait dĂ©couvrir le cinĂ©ma en tant qu'art et plus comme un simple divertissement. Tous deux partagent d'ailleurs ce don de la mise en scĂšne, cette virtuositĂ© dans l'emploi des musiques et cette fascination pour la violence, physique ou mentale. J'ose espĂ©rer qu'il sera un jour autant reconnu que ce gĂ©nie auquel il me fait tant penser. En attendant, comme beaucoup d'artistes avant lui, il sera souvent huĂ© pour son cheminement hors des sentiers battus. Le Roi du silence R. G. est revenu !! Only God Forgives est un film pompeux, poseur et quelque peu prĂ©tentieux. Nous sommes loin de la structure classique du prenant Drive. Ce film qui se veut personnel, n'est en fait qu'un produit abscons boursouflĂ© comme si Refn se regardait filmer. Mais regarder ces beaux travellings ! Ce jeu sur la couleur ! Il est vrai que les couleurs dominante, le vert et le rouge est digne de qualitĂ© et ces mouvements de camĂ©ra maĂźtrisĂ©s mais ils ne font que renvoyer Ă d'autres cinĂ©astes Tarantino pour la violence trĂšs stylisĂ©e, Lynch pour la musique . Des dialogues stupides et prĂ©visibles, des situations qu'on voit venir ... Certes, Ryan Gosling est bien masochiste et la musique emballante mais le film est plat, ennuyeux portĂ© par une histoire sans intĂ©rĂȘt dont la rĂ©partition rĂȘve/rĂ©alitĂ© mal dosĂ©e rend les Ă©vĂ©nements nĂ©buleux. Ceux qui chercheront un nouveau Drive retrouveront une certaine tension teintĂ©e de mĂ©lancolie portĂ©e par la beautĂ© nocturne des images. Ryan Gosling, toujours aussi tĂ©nĂ©breux, mais la comparaison Ă mes yeux s'arrĂȘte lĂ ... Je disais encore hier Ă un pote que, quand je vais voir un film de Nicolas Winding Refn, je ne sais mĂȘme pas si je dois m'enthousiasmer ou non car je suis autant capable dâadorer lâesthĂ©tisme et la science du rythme de ses "Pusher" et autres "Drive" que je peux vomir la vacuitĂ© et lâautisme de son "Valhalla Rising". Bon bah maintenant, avec ce "Only God Forgives" je peux dĂ©sormais ajouter que je suis aussi capable de puissamment me barber face Ă son esthĂ©tisme du vide et sa science de lâautisme. Parce que oui, câest trĂšs beau lĂ -dessus yâa rien Ă dire⊠Jolis plans, belle photo, beaux travelings et jolis sons infrabasses de Cliff Martinez... Mais tout ça pour ne raconter... rien. Ah ça on en verra des va-et-vient dans les couloirs entre Ryan bad ass » Gosling et Vithaya what the fuck » Pansringam dans le film ils lâont appelĂ© Tchang au moins ils se sont pas foulĂ©s ! Lâun vient... Il se passe rien pendant des plombes. Puis dâun seul coup il te bute un gars bien dĂ©gueulassement, puis il repart. Puis câest Vithaya qui arrive, il se la joue avec son sabre Ă la con, et puis lui aussi bute un gars... et repart. Tout ça pendant 1h30. On croirait presque la structure narrative dâun porno. Mais attention un porno chic ! Yâa quand mĂȘme Ryan Gosling et Kristin Scott Thomas ! Dâailleurs, je me suis demandĂ© ce quâelle foutait lĂ celle-lĂ . Ah si... Elle sert Ă varier les plaisirs. De temps en temps elle fait lâinterlude entre les scĂšnes de violence, ou elle vient parler de bites et de chattes en permanence. Moi, en regardant ça, je me suis dit que jâassistais â encore une fois â au film dâun gamin qui sâĂ©clate tout seul, mais en ne voulant pas partager ses jouets. Eh ! Je mets les couleurs que je veux ! Les acteurs que je veux ! Je raconte ce que je veux ! Et je mets du sang partout si je veux ! » Au fond dâailleurs, cet ego-trip est mĂȘme dĂ©sespĂ©rĂ©ment puĂ©ril. Refn aime juste mettre des mots sales dans une bouche raffinĂ©e, faire gicler le plus de sang possible en rajoutant les bruits les plus abusĂ©s du monde, et faire des ruptures juste pour le plaisir de faire autre chose que ce Ă quoi on sâattendrait. Pas de logique ? Pas de transmission ? Pas de but ? Pour moi, il nây a pas de doute ce film est un fuck fait au spectateur. La fin suffit Ă elle seule Ă nous en convaincre le film se conclut sur un karaokĂ© ! Oui, un putain de karaokĂ© oĂč Tchang chante tout seul comme un con pendant que le gĂ©nĂ©rique dĂ©file ! . Moi je dis, si Refn voulait montrer par ce film quâil en avait finalement rien Ă foutre de ce quâon pouvait dire et penser de son film eh bien ça tombe bien, parce quâen fin de compte, moi aussi jâen nâai rien Ă foutre de lui⊠Allez ! Files au coin sale gosse ! Vas jouer avec Gaspar NoĂ©, et reviens quand tu auras enfin dĂ©cidĂ© de partager quelque-chose avec nous, tes spectateurs... Le scĂ©nario est on ne peut plus limpide une histoire de vengeance dans laquelle celui qui a tuĂ© sera tuĂ© Ă son tour. Le jeu remarquable des trois acteurs principaux et la construction prĂ©cise de chaque scĂšne donnent une maestria Ă lâensemble. LâarriĂšre plan sociĂ©tal joue un rĂŽle particulier qui ajoute une charge presque comique dans ce film oĂč lâon rit peu ; les salons de prostitution dans lesquels les filles ferment leurs yeux pour ne pas assister aux scĂšnes de torture et la salle de spectacle minable oĂč se produit le policier au sabre sont comme le refrain ironique dâune chanson oĂč chaque couplet fait couler lâhĂ©moglobine. Le voilĂ ! Le film tant attendu de Nicolas Winding Refn, presque 2 ans aprĂšs l'excellent "Drive".Autant le dire tout de suite, ceux qui ont aimĂ© Drive n'apprĂ©cieront peut-ĂȘtre pas "Only God Forgives", ce dernier lorgnant plutĂŽt du cĂŽtĂ© du plutĂŽt hermĂ©tique, mais non moins trĂšs bon, "Valhalla Rising" sorti en suivons Julian, propriĂ©taire d'un club de boxe thaĂŻ Ă Bangkok, suite Ă l'assassinat de son grand frĂšre par un policier ne reculant devant rien pour faire appliquer sa justcie tranchante. TrĂšs vite, la mĂšre de Julian va venir le rejoindre en ThaĂŻlande pour venger la mort de son dĂ©concertant, le film adopte un rythme trĂšs lent, du dĂ©but Ă la fin, avec une atmosphĂšre lourde, pesante, oscillant constamment entre cauchemar et campe Julian Ă la perfection, ĂȘtre mutique au regard et Ă la stature impeccable, mais Ă©tant en rĂ©alitĂ© un ĂȘtre introverti, impuissant, tant physiquement que sexuellement, et castrĂ© par une mĂšre la mĂšre de Julian, est campĂ©e quant Ă elle par l'excellente Kristin Scott Thomas, qui montre ici tout son talent, une sorte de Cruella du Pansringarm, interprĂšte de l'Ange de la Vengeance, le flic vengeur, est parfait dans son rĂŽle, froid au dĂ©cors, la lumiĂšre, oscillant entre le rouge, le orange et le bleu, et la mise en scĂšne sont absolument parfaites, cela relĂšve du BO de Cliff Martinez est incroyable, accompagnant les scĂšnes les plus marquantes du film avec Only God Forgives reprĂ©sente un anti-Drive, dans le sens oĂč l'histoire est ici archi-classique, le personnage principal, tout aussi mutique et ayant des phantasmes de violence, n'est pas une sorte de super-hĂ©ros invincible, mais quelqu'un de bon dans le fond, poussĂ© vers le crime, par amour pour sa conclusion, Only God Forgives n'est peut-ĂȘtre pas un film oĂč on Ă©prouve de l'empathie pour les personnages, ce qui peut nuire au film, ni avec une histoire vraiment reste parfois dĂ©tachĂ© du sort des une oeuvre noire parfaitement maĂźtrisĂ©e aux multiples niveaux de lecture, avec des scĂšnes d'une beautĂ© rare, jouant constamment avec les attentes du un trĂšs trĂšs bon film, 100% Refn ! AprĂšs le chef-d'Ćuvre Drive, Nicolas Winding Refn retrouve pour la deuxiĂšme fois Ryan Gosling dans un film qui ne plaira pas Ă tout le monde. Soyons clair, soit vous accrochez au film soit vous n'y accrochez pas du tout car il est loin d'ĂȘtre accessible Ă tout le monde. Pour ma part, j'ai adorĂ©. L'esthĂ©tique du film est magnifique le jeu de couleur est superbe tout comme la mise en scĂšne de Refn, trĂšs calme, trĂšs posĂ©e. Les acteurs sont supers Gosling au top, Pansringarm, parfait mais le meilleur rĂŽle revient Ă Kristin Scott Thomas qui campe une mĂšre absolument machiavĂ©lique. Le tout, sublimĂ© par un magnifique score de Cliff Martinez, dĂ©jĂ auteur sur Drive. CĂŽtĂ© scĂ©nario, celui-ci peut s'avĂ©rer simpliste au premier abord mais il est beaucoup plus complexe qu'il n'y parait. En effet, Only God Forgives est sujet Ă plusieurs interprĂ©tations et il est fort probable que vous ne puissiez pas comprendre tous les sens du film lors de la premiĂšre vision de celui-ci. Moi-mĂȘme je n'ai pas totalement assimilĂ© tous les points. Un deuxiĂšme visionnage s'impose donc. NĂ©anmoins, Only God Forgives est vraiment un trĂšs bon film, violent, oppressant et qui ne laisse personne indiffĂšrent. ... Quand on sort du film, on a lâimpression dâavoir vu un gros gĂąchis, un film qui aurait pu ĂȘtre mythique pour les annĂ©es Ă venir mais qui ne le sera pas. Pour Winding Refn, seuls comptent le style, la beautĂ© et la noirceur. Un trĂšs bel exercice de style mais il manque lâessentiel Ă Only God Forgives une Ăąme ! J'ai pris de l'avance dans mon travail dans l'espoir de pouvoir faire autre chose, comme avancer sur mon projet de thĂšse que j'aurai dĂ©jĂ dĂ» rendre. Oui je vis dangereusement. Et puis aprĂšs qu'il est 14 heures j'apprends surpris que le dernier film de Refn est sorti. Quoi ? C'est vraiment le signe qu'en ce moment je ne suis plus l'actualitĂ© cinĂ©matographique. Parce que la sortie de Drive ou de Valhalla Rising je l'attendais de longs mois en avance. Enfin bon je regarde les sĂ©ances et merde, rien dans mon dĂ©partement. Ni une ni deux je prends mon vĂ©hicule motorisĂ© Ă quatre roues, je roule 100 km, je fais chauffer la carte illimitĂ©e et me voici dans la salle en forcĂ©ment on a cette petite apprĂ©hension, est-ce-que ça va ĂȘtre aussi bon que Valhalla Rising ou Pusher 2 ? ou Drive dans une moindre mesure.Alors ce que j'ai mis quelques minutes Ă rentrer dans le film, au dĂ©but c'Ă©tait peut-ĂȘtre un peu trop esthĂ©tique, moi qui m'attendait Ă une sorte de Drive Bis il m'a fallu du temps pour juste accepter qu'il ne nous refaisait pas Drive, mais qu'il refaisait Valhalla Rising en changeant l'acteur pas sĂ»r qu'on y gagne au change, mĂȘme si j'aime bien Gosling lorsqu'il ne fait pas le motard pour le tocard de la place au delĂ de la pine. Parce que c'est vraiment ça, si on a aimĂ© l'atmosphĂšre lente et pensante du film de Viking, on risque fort bien d'aimer ce film lĂ . MalgrĂ© le choix de casting Scott Thomas, aussi connue sous le nom de l'actrice la plus dĂ©testable de tous les temps. Mais bon lĂ je ne la trouve pas si dĂ©sagrĂ©able, car c'est son rĂŽle d'ĂȘtre une pute dĂ©sagrĂ©able. Mais il n'empĂȘche que je ne supporte pas sa gueule. Mais au moins lorsqu'elle parle anglais on n'a pas son accent de merde qui m' une fois que j'ai compris que l'on n'Ă©tait pas dans un film rĂ©aliste Ă la Pusher, mais bien dans quelque chose de fantasmĂ©, dans une sorte de film d'action expĂ©rimental, j'ai commencĂ© Ă prendre mon pied. Comment expliquer ? Les scĂšnes d'actions sont courtes, violentes, gores, brutales, viscĂ©rales, aucune pitiĂ© et ça fait du bien de voir ça. Mais aussi ce qui est gĂ©nial c'est ce temps d'attente oĂč ça monte, ça monte jusqu'au quelques secondes de violence pure. Et le film va rĂ©pĂ©ter plusieurs fois ce schĂ©ma jusqu'au final qui est un vĂ©ritable pied au nez je ne sais pas si ça se dit, mais je me comprends Ă tout ce que l'on aurait pu attendre. Et je trouve ça plus on retrouve les thĂ©matiques chĂšres Ă Refn, comme le poids d'ĂȘtre un pĂšre, mais je ne prĂ©fĂšre pas psychanalyser tout ça. Je pense que comme Valhalla Rising il faut le garder comme un pur film de violence si Drive avait fait l'unanimitĂ©, ce ne serait pas le cas de celui lĂ . Enfin l'unanimitĂ©. Quelques beaufs venus voir Fast and Furious ont pu ne pas comprendre. Le film a tout pour dĂ©plaire si justement on ne fait pas cet effort de s'abandonner au film de vivre au rythme de cette musique lancinante et pourtant si angoissante. Et le film vaut clairement le seul moment oĂč on pourrait ĂȘtre dans le rĂ©el, aprĂšs le repas entre la pute, la mĂšre et le fils, la pute dit "mais pourquoi tu la laisses te parler comme ça", ce Ă quoi Gosling rĂ©pond "parce que c'est ma mĂšre", mais ce bref instant de luciditĂ©, le seul de tout le film, de la part des personnages vire immĂ©diatement Ă ce qu'est le reste du film, un voyage Ă©touffant, violent et le mĂ©chant du film il n'existe pas vraiment, il sort son sabre de nul part, il disparaĂźt comme un rien, il apparaĂźt de nul part. C'est vraiment un dĂ©lire visuel dans lequel on peut tout apprĂ©cier ou tout vomir. Ce que je trouve sensationnel avec Refn c'est cette capacitĂ© Ă ĂȘtre lĂ oĂč on ne l'attend pas, Ă nous surprendre, parce que je ne m'attendais sans doute pas Ă je pense que comme Valhalla Rising il ne faut pas intellectualiser, le film est fascinant car opaque, si on s'amuse Ă dĂ©crypter, etc, on perd cette essence de puretĂ© et de brutalitĂ© qui font le charme et le gĂ©nie de ce film. De Drive on conserve le cĂŽtĂ© taiseux et meurtri de Ryan Gosling, la rĂ©alisation esthĂ©tisante de Nicolas Winding Refn, on y ajoute l'onirisme de la nuit thaĂŻlandaise, une penchant glauque pour la violence, et on obtient le crĂ©puscule de Drive un film beau, fort, mais un peu chiant quand mĂȘme. Je ne pardonne rien du tout. Je nâai pas supportĂ© dâĂȘtre pris en otage pendant 1h30 par ce film, disons le tout de suite, qui est une merde sans nom je vais encore me faire plein de copains ! Alors oui jâaurais pu quitter la salle, comme une bonne dizaine de spectateurs, mais jâai cru jusquâau bout que quelque chose allait se produire, quâune fĂ©e providentielle apparaitrait pour en faire un film acceptableâŠque dalle ! Je suis restĂ©, curieux par la prestation et la prĂ©sence de Kristin Scott Thomas, Ă lâopposĂ© des rĂŽles quâelle a lâhabitude dâendosser. Elle est ici Ă contre emploi, en blonde-pouffiasse-hystĂ©rique-mĂšre incestueuse, la totale quoi ! Je me mets Ă sa place, quitte Ă changer de panoplie, autant tout changer en une seule scĂ©nario ? Il tient sur un ticket de mĂ©tro. Ce nâest pas si grave, on va se concentrer sur la forme. La forme ? De leeeeeennnnnttttts travelling avant et latĂ©raux, dans des dĂ©cors tout droits sortis de Derb Omar. Pour ceux qui ne savent pas ce quâest Derb Omar, câest un quartier de Casablanca oĂč lâon peut acheter tous les meubles, tapisseries, Ă©lĂ©ments de dĂ©cor que lâon trouve dans Only God Forgives, du brillant, du dorĂ©, du moche quoiâŠLâesthĂ©tique du film, jâai rarement vu quelque chose de plus laidâŠcâest vulgaire, clinquant, Ă©clairĂ© au nĂ©on 5 mns ça va, ça file la gerbe. Il parait que Gatsby câest pireâŠje nâavais pas lâintention dâaller voir le Baz Luhrmann, mais je vais peut ĂȘtre y aller pour confirmerâŠet bĂ©nie soit la carte UGC pour vĂ©rifier ce genre de problĂšme de ce film câest que Refn, le rĂ©alisateur, se prend super au sĂ©rieux, et perso, moi je ne marche pas. Chaque plan est un concentrĂ© de mauvais goĂ»t, et Ă la longue ce film mâa foutu sur les nerfs. Il parait quâil a Ă©tĂ© sifflĂ© Ă Cannes Ă la projo de ce matin, mais oui je sais, ça ne veut rien dire. Filmer Ryan Gosling en looser impuissant et taiseux, dont les dialogues tiennent sur le verso du mĂȘme ticket de mĂ©tro citĂ© plus haut, je veux bien, mais avec un minimum de fond, avec un peu de psychologie, allez avec un chouia de talent, et pas comme un mauvais clip de PsyâŠ.Ah ah ah, câest dĂ©diĂ© Ă Jodorowsky au faitâŠah ah ah !!! Ca a Ă©tĂ© une sĂ©ance hor-ri-ble ! AprĂšs Drive », dure est la chute, profond est lâennui, lourde est ma colĂšre. Je ne recommande absolument pas. Nous revoilĂ plongĂ© avec Nicolas winding Refn et Ryan Gosling dans ce qui ne semble pas ĂȘtre un rĂȘve cette fois ci, comme l'Ă©tait Drive, mais plutĂŽt... un cauchemar ! Un vĂ©ritable cauchemar, effrayant, violent, mystique,... Ainsi, le duo de Refn et Gosling continue son pĂ©riple dans le silence cauchemardesque de Only God forgives, un film oĂč la violence et le chaos semblent rĂ©gner, un film oĂč un gangster impuissant et soumis Ă sa mĂšre cherche Ă affronter un personnage mystifiĂ©, un policier thaĂŻlandais Ă l'image d'un Dieu ou du Diable afin de venger son frĂšre sauvagement assassinĂ© la sauvagerie est bien prĂ©sente dans ce film. Le film orchestrĂ© par une mise en scĂšne subliminale et sublime laisse place Ă un esthĂ©tisme hypnotisant, une bande son planante oĂč les bruits et dialogues disparaissent, oĂč seul la musique planante de Cliff Martinez semble accompagner cette Ă©trange ascension vers ce qui nous parait ĂȘtre l'enfer... Le film, trĂšs sombre, est desservie par un casting de haute gamme. En plus de Kristin scott Thomas, impressionnante dans son rĂŽle de sorciĂšre terrifiante elle en mĂ©riterait le prix d'interprĂ©tation fĂ©minine Ă Cannes, Vithaya Pansringarm est fascinant dans son rĂŽle de policier qui se prend pour Dieu, un ange de la vengeance qui punit et pourchasse les truands de la citĂ© de Bangkok Ă l'aide de son sabre. Le spirituel, le mysticisme sont au rendez vous. Le film nous rappelle Valhalla Rising le guerrier silencieux du mĂȘme rĂ©alisateur, ainsi que Alejandro Jordorowsky dont le film est dĂ©diĂ©, Gaspar NoĂ© son amie, David Lynch, Stanley Kubrick, Luis Bunuel... Un film transcendant, sans limites et original qui nous fait vivre une vĂ©ritable expĂ©rience sensorielle ! Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
EcranLargeFilms DrameOnly God ForgivesBandes-annonces et vidéosOnly God forgives - Bande-annonce cannoise VOST Trailers News et dossiers Photos Casting Only God forgives - Bande-annonce cannoise VOST Only God forgives - Bande-annonce cannoise VOST Avec Ryan Gosling , Kristin Scott Thomas , Vithaya Pansringarm , Gordon Brown VIII , Yayaying Rhatha Phongam , Tom Burke IV , Byron Gibson , Sahajak Boonthanakit , Charlie Ruedpokanon , Wannisa Peungpa , Narucha Chaimareung Réalisé par Nicolas Winding Refn Drame Thriller
L'acteur le plus productif et le plus en vue du moment revient sur grand écran dans "Only God Forgives". A bangkok, Ryan Gosling joue le rÎle de Jullian qui cherche à venger la mort de son frÚre. A la réalisation Nicolas Winding Refn qui n'est autre que le réalisateur de "Drive" autant dire que "Only God Forgives" a toutes les chances de nous en mettre plein les yeux. Sortie cinéma le 22 Mai 2013 LE SITE TOUT EN VIDEO
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